Les crobeaux

Six-cent-Soixante corbeaux croasants sans cesse et picorent mon corps ,pendu et battu
par le vent
Ni pluie ni vent n’entament mon âme mais six-cent-soixante-six corbeaux déteriorent mon corps
Le temps a passé l’envellope est souillée et le croassement funeste des corneilles en fureur
fait fuir le repos et la paix de ma peau.
picorent, picorent je n’en ai gère plus cure que des propos de cette miserable pécore . Quelle pitié assez ! assez !
Cessez insessement ces sotises inssancées !
Car vos becs qui s’entaitent,creux me piquent
je fais de chasser ces Six-cent –soixante –six corrbeaux et le vent et la pluie et pour nos épithaphes vit-on ?
Pour Ces épithaphes viles , on ne lève même plus les yeux .
J’ai rongé mes os vieux pour peux de crimes hodieux
on m’a crevé les lèvres et bouché les envies…eux
à nouveau il pleut
parents regardez des enfants malheureux.
Déjà pendus, arrogants les plus tristes sont les moins ardants,les
moins plaintifs les moins vivants
moins méchants
corps beaux croissez icisans soi sans sangs et puis cure des pendus, battus parlements, parle ment
kroa
crois
croix
croîs
croc Ha !
1 Comments:
fiche technique
-sructure:"prose"(+quelques vers a la rien avoir)
-style:plagiat (devinez de qui ?)
-utilisation de fil-de-fer:non
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